Velly  Un point, c’est tout (n°88)
 
 

voir en bas de page le premier état de cette planche, titrée “Sédimentation”

Un point, c’est tout   1978   n°88 (B.80)

Titre                                     Un point, c’est tout


Autres titres                 Sédimentation (l’état)


N° du catalogue                 DH 0088VG


Année de création       1978  (sans doute commencée en 1975)


Technique                         Eau-forte et burin sur cuivre


Mesures de la matrice      345 x 490 mm  (feuille 500 x 700)


Nombre d'états               4


Tirage                        100 exemplaires + XX épreuves d'artiste


Remarques


Bibliographie               Bodart, n°80, 1980.  

                                          Appella, n° 76 , 2002.

                                          Panorama Museum, 2009, p. 115

Un point, c’est tout

1978



Eau-forte et burin sur cuivre

Dimensions du cuivre : 34,5 x 49 cm

Tirage à 100 exemplaires numérotés 1/100 – 100/100. 20 épreuves d’artiste numérotées I/XX – XX/XX.  Editions Don Chisciotte.



Sur un fond vierge, plus d’un millier d’objets, animaux et personnes sont aspirés vers un point de fuite situé en dehors de la planche. Lampes, machine à coudre, scarabée, marteau, pneu, cordes, ceinture, serpent, mannequin, ossements, organes…  À priori, la combinaison de cette rafale d’objets et d’êtres peut sembler incohérente. Afin de souligner leur individualité, chaque élément, même s’il converge vers un même point, est saisi dans une perspective et une échelle qui lui est propre. Dans l’angle supérieur gauche, le journal est disproportionné comparé au landau, et au centre, le pneu est microscopique par rapport à la lampe de poche. Cet amas délirant est d’autant plus surprenant qu’en s’y penchant de plus près, on distingue plusieurs épaisseurs, des profondeurs, des reliefs. L’accumulation est tridimensionnelle.


En s’accordant du temps, et avec patience, il est possible de démêler quelques fils de cet écheveau, de saisir la genèse et l’enchaînement des éléments qui composent cette gravure. Un objet en appelle un autre, par sa forme, son sens ou sa prononciation. En haut à droite, un serpent s’enroule autour d’un pot à crayons. Ce mouvement évoque le dessin de la vis qui le côtoie, ainsi que la spirale du coquillage qui traîne non loin de là, et la coquille d’escargot à demi effacée. Dans l’angle inférieur gauche, des personnages, sans vie ni expression, sont aspirés avec un squelette dont la cage thoracique s’apparente à l’étagère mêlée à cet agrégat.


Les objets peuvent être groupés par rapprochement sémantique : la clé de porte engendre la clé à molette, qui à son tour engendre la clé à sardine; l’ensemble formé par le cartable en cuir, la chaussure et le chapeau obéit à cette même règle. Un oxymoron s’incarne dans les parages du homard, où l’artiste a posé un poids sur une plume.


Les mots jouent un rôle essentiel dans la combinaison de ces éléments : à côté de l’artichaut situé au cœur de la gravure, on trouve un radiateur. Le couple artichaut/chauffage pourrait former le départ d’une comptine. L’hélicon devient l’hélicoptère, et tous deux habitent dans la région des objets hélicoïdaux.


Certains éléments se répondent de part et d’autre de la planche : le scarabée transpercé d’une épingle d’entomologiste appelle l’oiseau cloué sur une planche situé un peu plus haut. Ce motif est décliné à droite, à proximité de l’encrier, avec le criquet épinglé sur un carton, et le homard de l’angle opposé.


De multiples liens unissent donc ces éléments les uns aux autres. Les fils conducteurs sont matérialisés par des cordes ou formes apparentées (fil, cordon de téléphone, tuyau de douche, chaîne de vélo, tentacules) qui parcourent cette œuvre.


Petit à petit, on décèle une géographie secrète des objets ; une région s’apparente plutôt à l’enfance (landau, baby-foot, train électrique), une autre à la vie domestique (balai, rouleau à pâtisserie, cafetière, râpe à fromage, couverts, casserole). C’est le roman d’une vie racontée par ces choses condamnées à disparaître. Cette vanité contemporaine est un Tas d’ordures (1969) décontextualisé, où humains, objets et animaux se consomment, se consument puis tombent dans l’oubli. L’omniprésence du registre de la vision (paire de lunettes, télescope, appareil photo, ampoule, lampe, compte-fil, loupe) sont autant de clins d’oeils invitant le spectateur à se  pencher sur cette œuvre et par son truchement, à voir le monde d’un regard neuf.


Jean-Pierre Velly a travaillé sur cette planche entre 1975 et 1978; A l’origine, elle portait le titre de Sédimentation. On peut rapprocher Un point c’est tout à la gravure Enfin, de 1973. Plus autobiographique, on distingue dans un tourbillon d’objets aspiré vers le néant, des éléments liés directement à la vie de l’artiste comme le gâteau d’anniversaire de son fils Arthur qui soufflait cette année-là ses six bougies.




Un point, c’est tout

1978

Matrice: 345 x 490

Acquaforte e bulino su rame

Tiratura: 100 esemplari numerati 1/100 – 100/100; 20 prove d’artista numerate I/XX – XX/XX. Edizioni Don Chisciotte

traduzione: Fondazione Il Bisonte, Firenze


Su un fondo vergine, più di mille fra oggetti, animali e persone sono risucchiati verso un punto di fuga situato oltre i margini della lastra. Delle lampade, una macchina da cucire, uno scarabeo, un martello, un pneumatico, delle corde, una cintura, un serpente, un manichino, ossa, organi…A priori la combinazione di questa raffica di oggetti e creature può sembrare incoerente. Al fine di sottolinearne l’ individualità, ogni elemento, seppur convergente verso un medesimo punto, è colto nella prospettiva e nella scala proporzionale che più gli si addice. Nell’angolo superiore sinistro, il giornale è sproporzionato rispetto alla carrozzina, e al centro, il pneumatico è microscopico in confronto alla torcia tascabile.


Questo ammasso delirante è tanto più stupefacente quanto più, chinandovisi sopra molto da vicino, se ne distinguono i molteplici spessori, le profondità, i rilievi. L’accumulazione è tridimensionale. Concedendosi del tempo, e con pazienza, è possibile dipanare qualche filo di questa matassa, cogliere la genesi e la concatenazione degli elementi che compongono quest’incisione. Un oggetto ne richiama un altro, tramite la forma, il significato o la fonetica. In alto a destra un serpente si avvinghia attorno ad un portamatite. Questo movimento richiama il disegno della vite che gli sta a fianco, così come la spirale della conchiglia che si trova non lontano da lì e il guscio di lumaca per metà cancellato. Nell’angolo inferiore sinistro dei personaggi, senza vita né espressione, sono risucchiati insieme ad uno scheletro la cui gabbia toracica si apparenta allo scaffale finito dentro a questo aggregato. Gli oggetti possono essere raggruppati per similitudine semantica: la chiave della porta genera la chiave inglese, che a sua volta genera la chiavetta apriscatole; l’insieme formato dalla cartella in cuoio, la scarpa e il cappello obbedisce alla stessa regola. Un ossimoro si incarna nei pressi del astice, dove l’artista ha posato un peso su una piuma.


Le parole giocano un ruolo essenziale nella combinazione di questi elementi: accanto al carciofo, posto al centro dell’incisione, si trova un radiatore. La coppia carciofo-riscaldamento (artichaut-chauffage) potrebbe stare all’inizio di uno scioglilingua, di una filastrocca infantile. Il bombardone (hélicon) diventa l’elicottero, e tutti e due abitano nella regione degli oggetti elicoidali.


Alcuni elementi trovano corrispondenze da una parte all’altra della lastra: lo scarabeo trafitto da uno spillo da entomologo richiama l’uccello inchiodato ad un’asse che si trova un po’ più in alto. Il motivo si declina ancora a destra, vicino al calamaio, con la cavalletta spillata su un cartone e il gambero dell’angolo opposto.


Differenti legami uniscono dunque gli elementi fra loro. I fili conduttori si materializzano in corde o in forme affini (filo, cavo telefonico, tubo da doccia,  catena di bicicletta, tentacoli) che percorrono tutta l’opera.


Poco a poco, si svela una geografia segreta degli oggetti; una regione attiene piuttosto all’infanzia (carrozzina, calcetto, trenino elettrico), un’altra alla vita domestica (scopa, matterello, caffettiera, grattugia, posate, casseruola). E’ il romanzo di una vita raccontata attraverso cose condannate a scomparire. Questa vanità contemporanea è un Tas d’ordures (1969) decontestualizzato, dove esseri umani oggetti e animali si consumano, si logorano per poi cadere nell’oblio. L’onnipresenza del registro della visione (paio di occhiali, telescopio, macchina fotografica, lampadina, contafili, lente d’ingrandimento) sono altrettante strizzatine d’occhio che invitano lo spettatore a chinarsi su quest’opera e, col suo viatico, a vedere il mondo con sguardo nuovo.

Jean-Pierre Velly ha lavorato a questa lastra fra il 1975 e il 1978 (alcune parti dell’incisione recano delle iscrizioni datate: una placca sul calcetto reca la data del 5 novembre 1975; la data di scadenza della scatola di “sardine Velly à l’huile de Formello” è il 6/2/76. L’artista ha così disseminato di micro-firme tutta l’opera.); originariamente essa portava il titolo di Sédimentation. Un point c’est tout può essere accostata all’incisione Enfin, del 1973. Più autobiografica, dentro un nugolo di oggetti calamitati verso il nulla, si distinguono degli elementi direttamente legati alla vita dell’artista, come la torta di compleanno del figlio Arthur, che proprio quell’anno soffiava su sei candeline.




Ein Punkt, das ist alles


Julie und Pierre Higonnet


Aus dem Französischen von Marie-Louise Brüggemann


Auf einem unberührten Untergrund werden Tausende von Gegenständen, Tieren und Personen von einem Fluchtpunkt angezogen, der außerhalb der Platte liegt. Lampen, eine Nähmaschine, ein Skarabäus, ein Hammer, ein Reifen, Schnüre, ein Gürtel, eine Schlange, eine Gliederpuppe, Gebeine, Organe … Auf den ersten Blick scheint die Anordnung dieses wilden Stroms von Gegenständen und Lebewesen ohne Zusammenhang zu sein. Um die Individualität zu betonen ist jedes einzelne Teil, selbst wenn es auf ein und denselben Punkt zuläuft, in der ihm eigenen Perspektive und dem eigenen Maßstab dargestellt. Im Vergleich zum Kinderwagen ist die Zeitung in der linken oberen Ecke unproportioniert, und verglichen mit der Taschenlampe ist der Reifen in der Mitte des Bildes winzig klein. Diese verrückte Ansammlung ist umso erstaunlicher, als man bei näherer Betrachtung mehrere Schichten, Tiefen und Reliefbildungen entdeckt. Die Anhäufung ist dreidimensional.


Wenn man sich Zeit lässt und Geduld hat, gelingt es, einige Fäden aus diesem Durcheinander zu entwirren und die Entstehung und Verkettung der Elemente zu begreifen, aus denen diese Grafik besteht. Durch die Form, die Bedeutung oder den Ausdruck beziehen sich die Gegenstände aufeinander. Oben rechts windet sich eine Schlange um Pinsel in einer Dose. Diese Bewegung verweist auf das Muster der neben ihr liegenden Schraube ebenso wie auf die spiralförmige Muschelschale, die auch nicht weit entfernt ist, und auf das halb verwischte Schneckengehäuse. In der linken unteren Ecke werden leblose, ausdruckslose Gestalten zusammen mit einem Skelett fortgesogen, dessen Brustkorb zu dem kleinen Regal passt, das in dieses Konglomerat eingefügt ist.


Die Gegenstände können durch semantische Parallelen zusammengestellt werden: Der Türschlüssel führt zum Schraubenschlüssel und dieser wiederum zum Dosenöffner; das durch die Ledermappe, den Schuh und die Schirmkappe gebildete Ensemble folgt derselben Regel. Ein Oxymoron entsteht in der Nähe des Hummers, wo der Künstler ein Gewicht auf eine Feder gelegt hat.


Die Wörter spielen eine entscheidende Rolle bei der Kombination dieser Elemente: Neben der Artischocke in der Mitte der Grafik befindet sich ein Heizkörper. Das Paar Artischocke/Heizkörper (artichaut/chauffage) könnte der  Beginn eines Abzählverses sein. Ein Helikon wird zum  Helikopter, und beide befinden sich im Umkreis von schraubenförmigen (hélicoïdaux) Gegenständen.


Einige Elemente entsprechen sich auf beiden Seiten der Platte: Der von der Nadel eines Insektenforschers durchbohrte Skarabäus verweist auf den Vogel, der etwas weiter oben auf ein Brett genagelt ist. Dieses Motiv wird abgeschlossen mit der Heuschrecke, die rechts nahe eines Tintenfasses auf eine Schachtel aufgespießt ist, und mit dem Hummer in der gegenüberliegenden Ecke.


Es gibt also vielfältige Verbindungen zwischen den einzelnen Elementen. Der rote Faden wird durch Seile oder ähnliche Formen (einen Faden, eine Telefonschnur, einen Duschschlauch, eine Fahrradkette, Tentakeln) verkörpert, die dieses Werk durchziehen.


Nach und nach entdeckt man eine verborgene Geographie der Objekte: Ein Bereich verweist eher auf die Kindheit (Kinderwagen, Tischfußballspiel, elektrische Eisenbahn), ein anderer auf häusliches Leben (Besen, Nudelholz, Kaffeekanne, Käsereibe, Besteck, Kochtopf). Es ist der Roman eines Lebens, erzählt von Dingen, die zur Vergänglichkeit verdammt sind. Diese zeitgenössische Vanitas ist ein aus dem Zusammenhang gerissener Müllhaufen (1969), wo Menschen, Gegenstände und Tiere sich auflösen, dahinsiechen und dann in Vergessenheit geraten.1 Die allgegenwärtigen Objekte des Sehens (Brille, Teleskop, Photoapparat, Glühbirne, Lampe, Vergrößerungsglas, Lupe)  sind alles augenzwinkernde Hinweise, die den Betrachter dazu einladen, sich diesem Werk zuzuwenden und durch dieses Bild die Welt mit neuen Augen zu sehen.


1 Vgl. die Anmerkung zur Ein Punkt, das ist alles in: Das Helldunkel der Seele, Philippe Nuss, Marie Sellier, Jean-Paul Bath, Edition John Libbey, 2006, S. 20–21.


liste des objets que l’on trouve dans Un point c’est tout:


Aiguilles, allumettes, amibes, ampoule, ancre, appareil photo, archet, armoire de salle de bain, arrosoir, artichaut, arum, aspirateur, assiettes, aubergine, avion, babyfoot, baguette, balai, brosse, balle, balle de tennis, ballon de foot, ballon de volley, banane, barre d'étagère, bateau, bêche, biberons, blaireau, bloc de pierre, bobines de fil vide, bobines de fil, boîte à gouache, boîte à médicaments, boite à peinture, boîte à sardines, boîtes d'allumettes, boîte de camembert, boîte de conserve, boîtes, bouchon, bougeoir, bougie, boulet, boulons, bouquet de fleurs, boussole, bouteille à eau de seltz, bouteille d'encre de chine, bouteilles, bouteilles d'encre, bouton de fleur, boutons, branches, branche d'épines, briquet, broche, brosse à cheveux ,brouette, burin, cadenas, cafetière, cafetière italienne, cahier, calorifère, camembert, canard, cancer, cane à pêche à moulinet, canne à pêche, capuchon, carcasses, cartable, carte postale, cartes à jouer, casque, casseroles, ceintures, cerises, chaîne, chaîne de vélo, champignon, chapeaux, chapeau de doge, chapeaux pointus, chapelet à saucisses, chaussure, chaussure de femme, cheval à bascule, cigarette, cigarette allumée, ciseaux, clés, clé (outil), clé à molette, cloche, clous, cocotte-minute, cœurs, coings, compas, compte fil, coquetier, coquilles, coquille d'huître, coquille d'œuf, cordes, corps de jeune fille, corps féminins, coup de feu, couronne, couteaux, crânes d’animaux, crayons, crémaillères, cric, crochets, cube, cuiller à infuser le thé, cuillères, dague, dés, dé à coudre, débouches chiotte, décapsuleur, disque, disque ailé, doigts, dôme pliant, drap, échelles, élément de rame, emballage de papier, embryon, encre, engrenages, enjoliveur, entonnoirs, épi de maïs, épingles à nourrice, équerres, étagères, étiquette à clé, étrier, façade de maison, faucille, fer à repasser, feuille, feuille de bois, feuille de métal perforée, feuille de papier, feuille ondulée, feuilles de chêne, fil à plomb, fil électrique, fil tressé, fils, flacons, fleur dans un pentagone, fleurs, fleurs artificielles, flûtes à bec, fouet de cuisine, fourchettes, fourchette à bulots, fourneaux, fusil, gland, gomme, gouge, gourdes, grabber, grappe de raisin, grelots, grenade, guitare, hache brisée, hachoir, hachoir électrique, hanche de flûte à bec, harmonica, harpon, haut parleur, hélicoptère, herbe, herbe déracinée, hochet, houx, insectes, instrument à aquatinte, jeannettes, jerrican à double goulot, jeune fille, journaux, jumelles, klaxon, lampes à huile, lampe de chirurgien, lampes de poche, lampion, landau, livres, locomotive, longues vue, louches, loupe articulée, machine à coudre, maillet, main, main de loi, mamelles, manches, manivelles, mannequins, marteau, martinet, masque, montre, morceau de bois, fromage, morceau de tissu, tronc, moule à gâteau, moulin à café, moulin à cordes, moulin à poivre, moulin à soupe, moulinette, mousqueton à voile, mues de femme, muret de briques, nappe à carreaux, niveau à bulle, obélisque, yeux, œufs, oiseaux, opinel, oreillers, organes, paire de baskets, bâtons de ski, lunettes, embauchoirs, papier toilette, paquet cadeau, parapluies, parasol de glace, parpaing, passoire, patin à roulette, peignes, pelle, pelle à cendres, pelote de laine, perceuse, piédestal, poignée, phoque, pied creux, pied d'appareil photo, pieuvre, pinces, pince à épiler, pinces à linge, pinceau à colle, pinceaux, pince-nez, Pinocchio, pioches, pipe, pique à roti, planches à découper, planches de bois, plante en pot, plaque d'immatriculation, plateau, plumes, plume de rechange, plumeau, pneu de voiture, poche en cuir, poeles, poids, poids octogonal, poignard, poignée de fenêtre cassée, poignée de porte, poinçon, point d'interrogation, poires, poireaux, poisson, pomme, pomme de douche, pompe à vélo, pots à encre,pot à pinceau, pot de chambre, pot de fleur vide, pots d'échappement, poulie, poumons, punaises, rabot, radio, râpe à fromage, rapporteur, raquettes de tennis, rasoir, râteau, râteau à feuille, rayon de roue brisé, réchaud à gaz, repose plat, ressort, réveil, revolver, robinets, roues, roue de vélo, roule cigarette, rouleau à pici, roulettes, ruban, sablier, salami, salière, saucisson, scarabée, scies, seau à champagne, sécateur, seins creux, seringue, serpents, serviette, sifflet, sonnette, souche d'arbre, soufflet, soupière, spatule, squelette, stylo plume, sucette, taille crayon, tambourin, tampon buvard, tampon dateur, téléphone, téléviseur, tête d'animal, tête d'enfant, tétine double, théières, thermos, tige de bambou, tige, timbre, tire bouchon, tiroir, tisonnier, toile, tortue, toupies, tournesol, tournevis, transat, trident, tringles à rideau, trognon de pomme, trombone, trompettes, trompette cassée, truelle, trousse d'écolier, trousseau de clés, truelle, tube, tue-mouche, tuyaux, valise, vase, vélo, verre à digestif, violon, vis, viscères, voitures, volant, zeppelin...